Accueil :: La Galaxie :: La Bordure Extérieure :: Korriban
wik khoe yaochsotu iruchilni t'ycho khoe onichha - Ft Abaddon
2 participants
wik khoe yaochsotu iruchilni t'ycho khoe onichha - Ft Abaddon Jeu 14 Juil - 22:32
Messages : 19
wik khoe yaochsotu iruchilni t'ycho khoe onichha*
Zayz Kainzaiw & @Abaddon Katakros
Les souvenirs de Dromund Kaas en pleine santé ne sont pas loin, toujours présents en son cœur alors qu’il est actuellement debout sur les roches donnant vu sur l’espace humide, du petit lac où le Premier, une créature immense de ce monde se trouvait autrefois. Il se souvient l’avoir combattu une fois, et avoir survécu. Bien sûr, il ne l’avait pas tué, mais aujourd’hui, il ne le voit plus, il est sûrement depuis bien longtemps et un jour, un nouveau Premier verra le jour ici. Il avait toujours vu la ville, la capitale au loin, être d’une grande beauté, mais aujourd’hui, ce n’est plus réellement la même chose de ce qu’il voit. Le temps en a effacé des choses et c’est déplaisant aux yeux de Zayz qui a grandi, vécu et aussi, participé à la grandeur de l’Empire. Déprimant, mais sûrement que tout va renaître des cendres en étant clairement bien plus fort, c’est ce que Zayz se dit sans cesse. Rien n’est jamais perdu dans le fond.
Il soupire doucement et descend alors de son perchoir dans un léger saut et atterri dans un petit mont de terre proche du lac et rabat sa capuche sur sa tête pour tout simplement cacher ses cheveux blonds et son visage, allant vers le spatioport encore en état, mais aucunement dirigé ou encore surveillé. C’est bien pour ça, qu’il vient monter dans un vaisseau de pilleur se trouvant sur la planète. Fermant la rampe et commençant à tout régler, il décolle sans problème et sans prêter attention aux pauvres petits hommes qui pointent leurs nez en voyant leur vaisseau se faire voler. Il avait entendu parler qu’une académie sith reprenait place dans ce nouveau monde en ébullition et en catastrophe à ses yeux. Zayz avait une idée de la possible personne d’après les rumeurs lues quelque part sur l’holonet, tout simplement.
Zayz connaît un peu trop les personnes de son époque d’origine et il sait très bien, que si quelqu’un tente une académie, ça sera sur Korriban. C’est donc, naturellement, qu’il met le cap sur cette planète, planète qui a vu Zayz grandir, devenir fort et devenir ce qu’il est. Zayz avait toujours connu cette planète, Dromund Kaas, Ziost ou encore l’ombre de Ziost, étant donné que son bureau et ses différentes réunions changeaient de place assez souvent. C’est en voyant la planète une fois en orbite qu’il eut un petit sentiment de nostalgie qu’il chasse bien vite avant d’aller se poser sur l’air des navettes, donnant vue sur la vallée des Seigneurs noirs, l’Académie Sith et les contrées sauvages, se situant bien plus bas. Retirant alors ensuite sa cape pour la laisser dans le vaisseau, il sort et approche de la barrière pour regarder. Un vent chaud souffle doucement dans ses cheveux blonds, puis, il tourne le regard vers l’Académie. Une signature dans la force le frappant alors et clairement, il reconnaît la personne.
Un sourire se dessine sur ses lèvres, Abaddon. Ce bon vieux bougre rouge bien visible se trouvait ici et c’était sûrement son œuvre, la création de l’académie dans l’ancienne qui se trouve ici. Ainsi, c’est naturellement qu’il prend le chemin vers celle-ci plus loin, il avait l’impression d’être redevenu un apprenti qui débute dans ce monde qui affectionne tant alors que pourtant, il a passé l’âge et c’est lui, qui est devenu maître sith pour les petits nouveaux durant son époque. Entrant dans l’Académie, il regarde autour de lui et monte à l’étage, allant vers les bureaux, son instinct l’y poussant et la force aussi.
Il sourit, une fois arrivé. Et en le voyant.
« - Si je dis que tu ne m’as pas manqué, ça serait mentir, Abaddon. »
Zayz croise les bras, continuant de sourire, ça lui faisait du bien de voir un visage familier, tout simplement. Puis, il approche doucement et touche le bureau du bout des doigts, tout en venant ensuite s'appuyer contre celui-ci, regardant encore le Sith se trouvant dans la pièce. Zayz avait son éternel sourire sur le visage, sourire et expression donne toujours l'impression qu'il est un gentil petit gars ( petit....non) qui est là pour parler et qui pourtant, derrière, fait de bon gros dégât étant donné qu'il n'est pas un petit faible. Il n'est pas devenu directeur adjoint du bureau de la propagande en faisant des câlins.
« - Tu n'as pas changé d'un pouce. »
Il soupire doucement et descend alors de son perchoir dans un léger saut et atterri dans un petit mont de terre proche du lac et rabat sa capuche sur sa tête pour tout simplement cacher ses cheveux blonds et son visage, allant vers le spatioport encore en état, mais aucunement dirigé ou encore surveillé. C’est bien pour ça, qu’il vient monter dans un vaisseau de pilleur se trouvant sur la planète. Fermant la rampe et commençant à tout régler, il décolle sans problème et sans prêter attention aux pauvres petits hommes qui pointent leurs nez en voyant leur vaisseau se faire voler. Il avait entendu parler qu’une académie sith reprenait place dans ce nouveau monde en ébullition et en catastrophe à ses yeux. Zayz avait une idée de la possible personne d’après les rumeurs lues quelque part sur l’holonet, tout simplement.
Zayz connaît un peu trop les personnes de son époque d’origine et il sait très bien, que si quelqu’un tente une académie, ça sera sur Korriban. C’est donc, naturellement, qu’il met le cap sur cette planète, planète qui a vu Zayz grandir, devenir fort et devenir ce qu’il est. Zayz avait toujours connu cette planète, Dromund Kaas, Ziost ou encore l’ombre de Ziost, étant donné que son bureau et ses différentes réunions changeaient de place assez souvent. C’est en voyant la planète une fois en orbite qu’il eut un petit sentiment de nostalgie qu’il chasse bien vite avant d’aller se poser sur l’air des navettes, donnant vue sur la vallée des Seigneurs noirs, l’Académie Sith et les contrées sauvages, se situant bien plus bas. Retirant alors ensuite sa cape pour la laisser dans le vaisseau, il sort et approche de la barrière pour regarder. Un vent chaud souffle doucement dans ses cheveux blonds, puis, il tourne le regard vers l’Académie. Une signature dans la force le frappant alors et clairement, il reconnaît la personne.
Un sourire se dessine sur ses lèvres, Abaddon. Ce bon vieux bougre rouge bien visible se trouvait ici et c’était sûrement son œuvre, la création de l’académie dans l’ancienne qui se trouve ici. Ainsi, c’est naturellement qu’il prend le chemin vers celle-ci plus loin, il avait l’impression d’être redevenu un apprenti qui débute dans ce monde qui affectionne tant alors que pourtant, il a passé l’âge et c’est lui, qui est devenu maître sith pour les petits nouveaux durant son époque. Entrant dans l’Académie, il regarde autour de lui et monte à l’étage, allant vers les bureaux, son instinct l’y poussant et la force aussi.
Il sourit, une fois arrivé. Et en le voyant.
« - Si je dis que tu ne m’as pas manqué, ça serait mentir, Abaddon. »
Zayz croise les bras, continuant de sourire, ça lui faisait du bien de voir un visage familier, tout simplement. Puis, il approche doucement et touche le bureau du bout des doigts, tout en venant ensuite s'appuyer contre celui-ci, regardant encore le Sith se trouvant dans la pièce. Zayz avait son éternel sourire sur le visage, sourire et expression donne toujours l'impression qu'il est un gentil petit gars ( petit....non) qui est là pour parler et qui pourtant, derrière, fait de bon gros dégât étant donné qu'il n'est pas un petit faible. Il n'est pas devenu directeur adjoint du bureau de la propagande en faisant des câlins.
« - Tu n'as pas changé d'un pouce. »
code by exordium.
* tomber est permis, se relever est ordonné.
Re: wik khoe yaochsotu iruchilni t'ycho khoe onichha - Ft Abaddon Mar 30 Aoû - 23:24
Conseiller Noir
Messages : 14
Korriban. Monde désertique des régions inconnues, oublié de tous. Mystérieuse planète parcourue de vents violents et habitée de créatures sauvages. Certains prétendent y entendre des voix, celles de fantômes oubliés qui hantent la surface du monde et ses nombreux tombeaux. D’autres pensent qu’il ne s’agit que du vent qui souffle entre les ruines immenses de ce qui fut autrefois le berceau des Sith.
Pour Abaddon, cependant, cette planète paraissait presque chaleureuse. Il y avait été formé à l’art de la Force, envoyé lorsque son pouvoir se manifesta enfin. Il y était devenu un apprenti ambitieux, et s’était hissé au sommet des rangs des Sith, jusqu’à devenir l’élu de la Furie de l’Empereur, exécuteur de sa volonté. A cette époque, la seule chose qui l’animait était sa haine et sa volonté de destruction. Une soif de sang inextinguible alimentée par la guerre entre l’Empire et la République.
Pourtant, aujourd’hui, dans une époque qui n’était pas la sienne, Abaddon était assis à un bureau, le nez plongé dans un ouvrage ancien… Beaucoup de choses avaient chanté depuis qu’il avait quitté Korriban, plus de 3500 ans avant cet âge. Entre-temps, sa colère s’était tarie. Il avait appris les compromis. Il avait tué ses maîtres, était devenu leader d’une faction tierce dans la balance galactique. Malgré tout, il n’avait jamais perdu de vue ses objectifs. Abaddon était un Sith au sang pur, une race fière et forte. Et aujourd’hui, plus que jamais, en tant que dernier représentant des siens, il devait assurer la postérité. Il n’allait pas permettre que la Galaxie oublie une nouvelle fois son espèce.
Ainsi, il avait réussi à négocier une trêve avec le nouvel Empereur. Il avait pu sécuriser sa place au sein de la Galaxie, et assurer la légitimité de son entreprise. Il était devenu le nouveau visage des Sith, ramenant des traditions perdues depuis des millénaires dans l’apprentissage du Côté Obscur. Suite à la disparition de l’Empereur Palpatine, il était légitimement le seul véritable Sith encore en vie. Son ennemie, Vaylin, était bien en vie, et tout aussi déterminée que lui à reconstruire ce qu’elle avait.
Du moins, c’est ce qu’il pensait, jusqu’à ce qu’il sente une présence qu’il n’avait pas ressentie depuis des années sur Korriban. ll avait rencontré de nombreuses personnes puissantes dans la Force depuis, et l'identité de l’arrivant ne lui revint pas immédiatement. Cependant, il n’avait aucun doute sur le fait qu’il s’agissait d’un Sith, qu’il avait déjà rencontré auparavant.
Il attendit donc patiemment dans son bureau, les yeux toujours rivés sur son ouvrage. Ses sabres laser étaient accrochés à sa ceinture, prêts à être dégainés à tout instant. Son corps se tendit en entendant le bruit des pas résonner dans les escaliers, prêt à bondir. Car malgré les années, Abaddon restait un redoutable bretteur, d’une volonté de fer. Un alpha qui n’hésiterait pas à défendre son territoire et son titre. Mais, alors que la présence se faisait plus forte à mesure qu’elle approchait, ses yeux s’élargirent imperceptiblement. Il ne contint pas sa surprise quand il vit un revenant pénétrer dans son bureau. La silhouette verte du Sith lui était bien familière : Zayz Kainzaiw, un Sith qui n’a jamais eu l’occasion de briller au même titre qu’Abaddon, mais qui était doté d’une langue capable de miracles. Un des camarades d’Abaddon lors de ses années à l’Académie, ils avaient eu de nombreuses occasions de se recroiser lors de leurs parcours respectifs. Il avait péri lors de l’assaut de la République sur Korriban, orchestré par les Révanites.
Le Sith au sang pur finit par se relever, mettant de côté son livre qui devint soudain bien moins intéressant, son expression se détendant en un sourire sincère. Il s’approcha de son ancien camarade pour le gratifier d’une accolade amicale. Habitué depuis longtemps à être sérieux, Abaddon savait qu’il n’avait jamais pu rester stoïque devant l’air jovial de son camarade.
« Ca alors, Zayz. Si je m’attendais à ça… Je dois t’avouer que ça me fait plaisir de te revoir bien vivant. Je doute que tu aies besoin d’étudier à l’Académie, en revanche… Qu’est-ce qui t’amène ici après cinq ans ? »
Pour Abaddon, cependant, cette planète paraissait presque chaleureuse. Il y avait été formé à l’art de la Force, envoyé lorsque son pouvoir se manifesta enfin. Il y était devenu un apprenti ambitieux, et s’était hissé au sommet des rangs des Sith, jusqu’à devenir l’élu de la Furie de l’Empereur, exécuteur de sa volonté. A cette époque, la seule chose qui l’animait était sa haine et sa volonté de destruction. Une soif de sang inextinguible alimentée par la guerre entre l’Empire et la République.
Pourtant, aujourd’hui, dans une époque qui n’était pas la sienne, Abaddon était assis à un bureau, le nez plongé dans un ouvrage ancien… Beaucoup de choses avaient chanté depuis qu’il avait quitté Korriban, plus de 3500 ans avant cet âge. Entre-temps, sa colère s’était tarie. Il avait appris les compromis. Il avait tué ses maîtres, était devenu leader d’une faction tierce dans la balance galactique. Malgré tout, il n’avait jamais perdu de vue ses objectifs. Abaddon était un Sith au sang pur, une race fière et forte. Et aujourd’hui, plus que jamais, en tant que dernier représentant des siens, il devait assurer la postérité. Il n’allait pas permettre que la Galaxie oublie une nouvelle fois son espèce.
Ainsi, il avait réussi à négocier une trêve avec le nouvel Empereur. Il avait pu sécuriser sa place au sein de la Galaxie, et assurer la légitimité de son entreprise. Il était devenu le nouveau visage des Sith, ramenant des traditions perdues depuis des millénaires dans l’apprentissage du Côté Obscur. Suite à la disparition de l’Empereur Palpatine, il était légitimement le seul véritable Sith encore en vie. Son ennemie, Vaylin, était bien en vie, et tout aussi déterminée que lui à reconstruire ce qu’elle avait.
Du moins, c’est ce qu’il pensait, jusqu’à ce qu’il sente une présence qu’il n’avait pas ressentie depuis des années sur Korriban. ll avait rencontré de nombreuses personnes puissantes dans la Force depuis, et l'identité de l’arrivant ne lui revint pas immédiatement. Cependant, il n’avait aucun doute sur le fait qu’il s’agissait d’un Sith, qu’il avait déjà rencontré auparavant.
Il attendit donc patiemment dans son bureau, les yeux toujours rivés sur son ouvrage. Ses sabres laser étaient accrochés à sa ceinture, prêts à être dégainés à tout instant. Son corps se tendit en entendant le bruit des pas résonner dans les escaliers, prêt à bondir. Car malgré les années, Abaddon restait un redoutable bretteur, d’une volonté de fer. Un alpha qui n’hésiterait pas à défendre son territoire et son titre. Mais, alors que la présence se faisait plus forte à mesure qu’elle approchait, ses yeux s’élargirent imperceptiblement. Il ne contint pas sa surprise quand il vit un revenant pénétrer dans son bureau. La silhouette verte du Sith lui était bien familière : Zayz Kainzaiw, un Sith qui n’a jamais eu l’occasion de briller au même titre qu’Abaddon, mais qui était doté d’une langue capable de miracles. Un des camarades d’Abaddon lors de ses années à l’Académie, ils avaient eu de nombreuses occasions de se recroiser lors de leurs parcours respectifs. Il avait péri lors de l’assaut de la République sur Korriban, orchestré par les Révanites.
Le Sith au sang pur finit par se relever, mettant de côté son livre qui devint soudain bien moins intéressant, son expression se détendant en un sourire sincère. Il s’approcha de son ancien camarade pour le gratifier d’une accolade amicale. Habitué depuis longtemps à être sérieux, Abaddon savait qu’il n’avait jamais pu rester stoïque devant l’air jovial de son camarade.
« Ca alors, Zayz. Si je m’attendais à ça… Je dois t’avouer que ça me fait plaisir de te revoir bien vivant. Je doute que tu aies besoin d’étudier à l’Académie, en revanche… Qu’est-ce qui t’amène ici après cinq ans ? »
|
|
|
